Arimanth ou l'Eclat.

Nom : Arimanth dit " d'Esthé "
Sexe : Masculin
Race : Humain
Classe : Lancier
Métier : Se dit Soldat pour le moment, et semble avoir quelques menues
compétences en herboristerie et en confection d'armures.

Alignement : -

Description : D'une taille somme toute moyenne, rien ne semble vraiment le distinguer du tout a chacun, cependant un oeil avisé remarquera qu'il soigne sa tenue et sa personne comme sa gestuelle, et également que son port souligne une certaine noblesse d'attitude sans pour autant être altier.

Son habitude est le sourire, bien qu'il soit parfois difficile de savoir si ce dernier est narquois ou simplement enjoué, il a toute l'avenance de son âge, qui selon le moment semble entre la vingtaine et la trentaine d'années.


Background :
Prolixe par ailleurs, il ne semble que légèrement enclin a parler du passé, tout ce qu'on peu lui soutirer se résume en une brève histoire.
Il serait issu d'une famille noble de la plus vaste cité humaine et en aurait tirée son éducation, cette famille aurait été déchue de son rang pour une action qu'il ne précise pas, et cette chute aurait provoqué son enrolement dans l'armée afin de subvenir a ses besoins comme a ceux des siens.

Il semble prendre soin a ne donner aucun nom, mis a part celui " d'Esthé ", se désignant lui-même comme " fils d'Esthé ".
Certains ont parfois vainement cherché a en savoir d'avantage, en arpentant la cité des humains et ses tavernes, cependant personne ne semble savoir a qui attribuer un tel nom, et bien que quelques uns reconaissent Arimanth, peu en savent d'avantage, et absolument personne ne peut infirmer ou authentifier son récit.
La plupart diront que de toutes façons ce jeune homme n'a rien de mystérieux ou de mystique, et qu'il est courant que les familles déchues changent de nom ou soit même interdites d'utiliser l'ancien, qu'il semble toujours poli et qu'il n'a jamais été a l'origine de quelque problème que ce fut, ou même de quelconque débat.

Pour tous, il n'est qu'un soldat ordinaire.
Et tout porte a croire qu'il s'en satisfait pleinement.

C'est l'aube, et le Guide veille.

La cité peine encore à s'éveiller, quelques mares suggèrent la pluie qui a accompagnée cette nuit, et l'air en est encore humide.
Les gestes sont mesurés, l'eau, dans laquelle repose le sable, frémit , le feu peine de justesse à la faire bouillir.
Attentif, l'oeil est rivé à cette mixture encore vierge, les plantes ne devront y être jetées que quand l'eau pourra les acceuillir.
C'est chose faite, il peu entamer la prière.

Il sait que le Guide le regarde, il sait que chaque mot compte.
Ce dernier penche la tête sur le coté, comme curieux, si il osait un coup d'oeil, il pourrait presque se voir dans le regard noir qui le fixe.
Mais la prière est complexe, et ne souffre aucune erreur, il laisse donc le Guide a son jugement, et continue la litanie.
L'odeur du breuvage s'élève lentement dans la pièce, une odeur âcre, gênante, l'eau s'est mise a tourner paresseusement dans le récipient de roche.

A mesure que la prière avance, son esprit vagabonde, il la récite depuis tant d'années déjà, c'est là sa vie et sa mort également, il sait a quelle sombre promesse il est lié.
Et il connait son prix.

Les mains s'avancent, et ne tremblent pas, pour prendre le récipient.
La pierre malgrès le feu qui la malmène est a peine tiède quand il le soulève.
Le breuvage en revanche est brûlant.
C'est son fardeau, son espoir, et il n'a de cesse de se le répéter quand la douleur se réveille sur le chemin de cette colonne de flammes liquide.



Avec un bruit sourd la pierre heurte la pierre, et c'est a peine si le guide a un regard pour le bol de roche qui roule sur le dallage.
Inexpressif, il regarde le jeune homme se tordre de douleur sur le sol, recroquevillé comme un jeune chiot malade et pathétique, il ne geint pas et pourtant son visage n'est qu'un masque de souffrance.
Si il pouvait sourire, il le ferait sûrement, après tout lui seul connait tous les tourments que cet être encore frêle devra affronter au nom de la Déesse.
Il sait quel est le prix du sursit que Mère lui accorde, il sait quel pari insensé repose sur les épaule de l'ignorant qui vient de perdre connaissance a même le sol froid.

Et il s'en réjouit, car puisqu'aucun cri ne lui a échappé, il le crois enfin capable d'y parvenir.

Marcher, toujours marcher en les écoutant discuter sur leurs montures.
Il ne les hait pas curieusement, on ne lui a pas enseignée la haine.
Tenir la lance, et marcher encore, le soleil rendant pénible le port de l'armure mais il ne bronche pas, il a travaillé dur pour avoir "l'honneur" de les accompagner.

La battue approche, les nobles se préparent, et lui peut enfin souffler un peu, il observe.
Les quelques Dames présentes font signe à leurs Fauconniers, qui s'approchent avec les oiseaux de proie sur le bras, les Dames préfèrent voir la mort quand elle a les gracieux traits de ces messies vêtus de plumes.
Leur combat est plus agréable a voir, et nettement moins salissant.

Même si lui aussi est fasciné par ces gracieux prédateurs, il sait que le Guide n'est pas loin, et même persuadé que ce dernier ne peux être assez stupide pour s'exposer, il doute.
Peut importe, là n'est plus la question, les jeunes gens se sont élancés vers la battue qui pointe a l'horizon, faisant fuir foule de gibier.

Le jeune Elbora est en tête, Grande famille, Grande tradition, Grandes aspirations, grande destinée, avenant qui plus est, et athletique, il adore la chasse et celà ce voit, outre le fait qu'il soit l'instigateur de la battue de ce matin, il est en tête, a demi couché sur sa monture jetée au galop.
Ses camarades le suivent , lances de chasse en main, peut être l'un d'entre eux pourra abattre un cerf ou un sanglier, et ce sera louanges a leur retour.

Lui ne bouge pas, les soldats d'escorte ont ordre de protéger les Dames des éventuelles bêtes terrifiées et aggressives qui s'écarteraient de la battue, mais son attention n'est pas tout a son devoir.
Il fixe le cavalier de tête, Elbora, plus jeune que lui de quelques années, a hérité des traits de son père, mais des cheveux noir jais de sa mère, les yeux sont d'un bleu profond, ce jeune noble est décidement aussi beau que talentueux.
Il a d'ailleurs repéré un sanglier de belle taille, et s'empresse de le charger.
Il sait comme tout bon chasseur que ce sont des bêtes féroces, et aussi rapides que vicieuses, nul n'ignore qu'enragés ils sont plus a craindre qu'un ours.
Mais Damoiselle Oprah le regarde elle aussi, et même un simple Soldat comme Arimanth sait quelle passion il nourrit a son encontre.
Il charge donc, sa monture tendue fonce vers la bête, et au moment ou elle ploie pour freiner et permettre a son cavalier de frapper, on peut lire en un instant toute l'exaltation du moment dans les yeux du jeune homme.
Beau, passioné, vivant.
Pourtant bientôt ne perdure qu'une seule sourde impression, la crainte.


C'est un cri qui souligne le claquement sec du cuir qui se rompt. Un henissement l'accompagne bientôt.
Arimanth constate à quelle point le noble possède une monture précieuse, dressée a la perfection, il l'envierait presque, si seulement il ne savait pas ce qu'il se passait.
Une chute de cheval à cette vitesse est pour la plupart synonyme de mort, ou de mutilation majeure, mais le jeune Elbora est cavalier émérite, et le soldat ne peut qu'admirer que même surpris il trouve le temps de se rouler en boule et d'armortir le choc.
Il est rude tout de même, et le jeune ephèbe s'en retrouve sonné, le voila qui se redresse en titubant, le bras en écharpe, s'empressant d'adresser un signe rassurant a Dame Oprah, dont le teint avait approché dangereusement celui de la cire.

Arimanth espérait que la chute suffirait a rompre le cou du jeune homme, une mort rapide. Mais le destin est parfois cruel, il devait s'en remettre a la partie la plus aléatoire de son plan.
Tout ceci n'avait duré que quelques secondes, et pourtant tout le monde avait retenu son souffle, puis soupiré de soulagement de voir le jeune homme debout.
Le soldat lui, reste tendu, serrant sa lance avec un calme déroutant.
Ce n'est pas fini.
Et le hurlement qui résonne bientôt lui confirme que l'aléatoire s'est montré terriblement efficace.

Des cris, les chiens de la battue sont lachés comme une tempête , les Dames défaillent les unes après les autres, les jeunes cavaliers deviennent blêmes tout en se ruant sur le meurtrier.
Elbora ne se relèvera plus cette fois.
Arimanth n'a pas besoin d'approcher pour savoir, les hurlements sont suffisants, le sanglier enragé a dû eventrer le jeune homme puis le pietiner avant de se tourner vers ceux qui le massacrent maintenant.
Une blessure affreuse, une mort longue et dans l'agonie qu'il aurait préféré éviter au jeune noble qui hurle toujours, mais qu'il avait prise en compte dans les possibles.


Il repense rapidement a ce matin, ou il avait du se lever avant l'aurore pour user la sangle de selle avec une lime de charpentier, car une coupure nette aurait eveillés trop de soupçons.
Il n'avait pu prier a cause de ca.
Il savait , comme le Guide savait, qu'il ne tiendrait guère plus longtemps, il fallait agir, vite.
Tout se mettait déjà a danser devant ses yeux, chaque pas lui coutait tant, il se ruait vers le Sanglier déjà plus qu'a demi mort en hurlant le nom de celui qu'il avait tué a travers lui.
Larder l'animal massif de coups de lance, puis s'effondrer, le sang plein la bouche.


Quand la chasse rentrera en la demeure des Elbora, on pleurera le fils prodige, on assurera son amour désormais intemporel a Dame Oprah, affligée et diaphane, et quelque-uns auront un mot pour ce simple soldat si attaché a la vie de son maître du jour qu'il aura courut au devant du danger en hurlant son nom, tellement pris de douleur par l'impensable qu'il s'était effondré en crachant du sang sans même avoir été touché par l'animal, Arimanth n'est-ce pas ?



Et loin de tous, le Guide observe.
Dans ses yeux noirs brille desormais l'interêt.

Le cortège avait été bien sombre, après tout le jeune homme était aimé de tous, Arimanth , rétablit, avait eu droit a une place dans les rangs de l'escorte.

Mais l'heure n'était plus à la tristesse, le Baron l'avait convié formellement dans ses appartements, et il s'y rendait, alerte et soigné, comme il se devait.
On l'avait fait attendre devant la porte, rien d'anormal jusque là, chaque détail comptait , il ne pensait pas vraiment qu'on puisse avoir fait le lien entre lui et la mort du jeune homme, mais mieux valait rester prudent.

" Entrez. "
Il n'attendit pas qu'on le lui répète.
Les appartements du vieux Maitre étaient le reflet de l'importance de la famille Elbora, et il ne put qu'apprécier les objets raffinés qui s'y trouvaient.
Saluer, profondement, puis rester debout, attendre qu'on vous propose un siège, pour beaucoup tous ces rituels d'étiquette étaient incompréhensibles ou ridicules, pas pour lui, il y évoluait avec une aisance presque étrange pour un simple garde de pied.
Néanmoins son hôte ne semblait pas s'en émouvoir, il avait fait le bon choix en racontant son histoire avant son embauche, elle justifiait avec simplicité ces dispositions.

Le vieil Elbora voulait le remercier, pour son dévouement, au plus haut point apprécié dans cette période troublée, et dans ce coup du traître destin.
Il lui proposait de formuler une requête raisonnable, il pouvait faire de lui un garde monté, ou lui donner un poste plus élevé dans la garde de pied par exemple, et Arimanth savait même qu'avec son éducation il pourrait demander a devenir page sans paraitre trop présomptueux.
C'était le genre d'offre rare que peu de gens refuseraient, mais son dessein était tout autre.
Il fût clair, la mort du jeune Maitre l'affligeait, et dans un sens c'était vrai, il n'avait pas haït ce jeune homme, les Elbora étaient des maitres stricts mais rarement injustes. C'était juste nécessaire, et une autre tâche l'attendait après.
Il exprima donc cette tristesse, ses regrets de n'avoir pu sauver le garçon, et sa demande fit lever un sourcil du Baron.

Partir, quitter ces terres qui lui rappelaient ces mêmes regrets et ces douloureux souvenirs, prier le Baron d'obtenir une place, même la plus basse, parmis une escorte noble ou un contingent de relève faisant route pour la Cité du Dragon, et oublier la bas cette tragédie.

Qui n'aurait pas été ému de telle humilité et d'un dévouement semblable envers son fils disparut ?
Quoiqu'il en fût, le vieux Baron vînt a lui prendre les mains, et ce fût surement la le moment le plus pénible de cet affaire, regarder dans les yeux cet homme grisonnant.
Sa demande serait comblée au plus vite, avec la bénédiction des Elbora.


Ainsi fût-il prit dans la garde de Dame Oprah, qui trouvait l'idée de changer d'air assez séduisante, rien de plus commode, encore difficilement consolable, cette dernière ne montrait guère d'enthousiasme et restée cloitrée avec ses Dames de compagnie, laissant à la majorité de sa garde plus ou moins de temps libre.

Elle avait souhaité voir la cité des elfes, pour avait-elle dit " Oublier en contemplant la merveille décrite dans certains contes " et il avait vu ca comme un contretemps, la cité du Dragon l'attendait.
Et pourtant, c'est au hasard et a l'apparente architecture chaotique de cette ville qu'il vînt a faire une rencontre.

Un couple étrange, un sombre combattant, et une pretresse éclatante.

Et toujours sous le regard du Guide, le mince fil qui tramait son destin vînt a bouger.
Mère serait contente.

L'aube grise rampe dans les rue, levant avec peine le brouillard nocturne qui s'était abattu sur la cité.

Et quelque part sous l'honnête ville qui s'apprête a s'éveiller, un gamin galope dans un souterrain.

Petit, brun de poil, peau un peu matte, aussi vif qu'un furet et comportant presque autant de taches de rousseur qu'il compte d'étoiles dans la ciel, il se hâte, avec une missive cachetée en main.

" La remettre a Sire Aerawin "

Une commission pour son Maitre, dont il peinait encore a trouver les mots pour le décrire.
Un Aristocrate déchu ? Même si ses manières le laissaient a penser il sentait quelque chose d'autre, d'autres facettes chez cet étrange personnage.
Il était dur, mais juste, protecteur quand il le fallait, tout en lui laissant assumer ses fautes, toujours souriant bien qu'on ne sache si on avait affaire a de la bonne humeur ou a un prédateur qui se pourlèche les babines.

Quand il était brillant, il recevait une pièce, utile, l'argent est toujours utile, et le fils d'une prostituée d'un bordel portuaire ne le sait que trop bien.
Leur rencontre n'avait rien a voir avec la pitié qu'on trouve dans les contes pour enfants avec lesquels sa mère " benie soit cette brave travailleuse " lui avait appris a lire.
Non, il savait se montrer utile et le Maitre savait judicieusement se servir d'un outil.
C'est cette certitude d'être traité comme le tout-venant qui l'avait également séduit chez ce garde étrange et inconstant.

Et les jeux qu'il lui avait enseignés l'étaient tout autant.
Emprunter telle chose dans telle boutique et le remettre a sa place sans être pris, suivre telle personne et rapporter tous ses faits et gestes, même ses plus curieuses habitudes, comme la fois avec ce marchand qui mettait ses doigts dans son n... Tourner a droite, et ralentir un peu.

Il commencait a comprendre pourquoi son Maitre avait encore d'avantage isolée et eloignée sa cellule du coeur du labyrinthe, juste sous le bouge.
Ce qu'il peinait a comprendre en revanche c'est pourquoi il avait rendu son insigne, et pourquoi il s'était retiré presqu'en hermite.
Pourtant le Maitre avait gravit un nouvel échelon dans la garde de la cité, et son nouveau statut qui pouvait désormais lui épargner les patrouilles, devrait l'accaparer d'avantage, mais il n'en semblait rien.

Curieux vraiment, il connaissait les voies, et pensait que son maitre choisirais les Ombres sans même se poser la question, après tout ils avaient tout deux régler une petite affaire il y a peu.
Enfin, tout deux.
Avec les elfes. La brune était folle mais douée, il en était convaincu, la plus frêle totalement inutile, elle ressemblait a un lapereau apeuré et tremblant, yeux grand ouverts sur un monde trop vaste pour elle.
Pourtant quand il avait demandé a son Maitre pourquoi personne ne voulait s'en débarasser celui-ci avait retorqué qu'a son grand regret il n'avait pu en forger une arme, et qu'il l'avait chauffée trop tot, la lame cassée nette après la poignée.
Et qu'une garde avec ne serait-ce qu'un reste de lame ne devait pas être abandonnée, un enemi ayant tôt fait de l'empoigner, de la retourner et de vous la plonger dans les côtes.
Il avait mis un certain temps a comprendre, mais il pensait avoir saisit le sens de tout cela, la troisième était plus banale a ses yeux, du genre a le prendre en pitié a cause de ses origines, du genre qu'il n'aimait guère parce que pitié rime avec inferiorité.

Elles lui avaient compliquées la tâche, il avait dû toutes les surveiller en plus de sa proie, et n'avait pas pu tout consigner, mais le Maitre ne lui avait rien reproché.
De toutes façons ce dernier avait récemment brulées ses notes sur chacunes, et sur tout ceux qu'il avait croisés dans la Confrerie.

Il avait regretté que son tuteur ne complote plus officiellement, mais il avait desormais d'autres missions, tout aussi exaltantes, et il savait pourquoi ce dernier avait choisie la voie de Sire Aerawin.

Tout comme lui, il ne renoncerait pas.

C'est haletant que le gamin d'a peine 13 printemps vînt frapper à la porte du cabinet de Sire Aerawin, pour ensuite glisser la missive sous la porte, en constatant son absence.

Sifflotant dans la pénombre sur le chemin du retour, il ne lui restait qu'une chose en tête.

Qui était " Mère " dont son Maitre le bénissait régulièrement en l'envoyant en mission ?

Réponse lui fût faite quand un croassement de corbeau retentit dans le souterrain, incongru et pourtant...

HRP =)

Je poste ici pour éviter de créer un nouveau topic :3

Vous avez tous remarqué mon absence ces derniers temps, ainsi que celle de Mahat, qui passe des concours ( enfin bientôt ) et qui donc joue moins.

Pour ma part outre un travail assez prenant et l'approche d'examens, je n'ai plus le goût pour perfect world, j'ignore d'où est venu l'ennui, le coup des hierogrammes payants quasi-obligatoires a haut level m'a sévèrement douché je l'avoue xD

Et aussi un manque d'envie pour le RP ( qui vient de moi hein, personne n'est responsable =) )
J'ai toujoursle jeu d'installé sur la machine ( j'ai encore quelques trucs a régler avec un des personnages de Mahat *sifflote* ) mais j'ignore si l'envie me reprendra un jour, j'ignore aussi ou en est la Confrérie mais je vous souhaite a tous bon jeu, bonnes scènes, et bon courage pour la suite ^^

Au plaisir de vous revoir , ici ou ailleurs :3